
LA MOLLLA
Au mois de février 1987, Tiziana Redavid, étudiante en architecture à Turin, visite l’usine d’un ami, fabricant de ressorts industriels. Le sol en est jonché. La jeune italienne les ramasse par dizaines, les passe à son poignet, et bientôt, ces simples ressorts vont trouver dans son imagination une vocation artistique.
Tiziana est frappée par l’analogie avec les ornements africains et plus encore par la faculté de détournement de ce matériau industriel en bijou.